Presse


le journal du dimanche -
2003 par Gérard KRAWCZYK


[…] Ce troisième opus permet, en effet, à un formidable comédien d’occuper un espace conséquent. Bernard Farcy en commissaire survolté, un rien « couillon » est épatant de drôlerie, de finesse, de second voire de dixième degré. Cet homme n’est pas seulement grand par la taille, il l’est encore par l’évidence de sa présence ![…]

L’accident est évité grâce à Stallone et Bernard Farcy

Le 3ème volet des aventures du plus marseillais des taxis est à peu près inconsistant, du strict point de vue du scénario. Sauvé, quand même, par les « guest stars » que sont Stallone et Bernanrd Farcy. […] Ce troisième opus permet, en effet, à un formidable comédien d’occuper un espace conséquent … de toute façon laissé vacant par ses petits camarades. Bernard Farcy en commissaire survolté, un rien « couillon » est épatant de drôlerie, de finesse (tout un art, dans ce monde d brutes), de second voire de dixième dégré. Cet homme n’est pas seulement grand par la taille, il l’est encore par l’évidence de sa présence, l’économie de son jeu ! Un véritable festival. Une véritable leçon. […]

Télé Z — L'oeil en coulisses

Coup de cœur au docu-fiction, Le grand Charles, écrit et réalisé par Bernard Stora, qui prête également sa voix au commentaire. FIPA d’argent dans la catégorie séries, FIPA d'or d’interprétation masculine pour Bernard Farcy, parvenu, comme il le dit lui-même à créer une « illusion convaincante », et Prix du film historique au Festival de Luchon.


Marianne - 25-31 mars 2006
par Eric DIOR


Le miracle, alors, s’accomplit. Farcy compose un de Gaulle aussi « gothique » que l’original, au point que l’on ne parvient plus à distinguer la fiction des séquences d’archives qui entrelardent le récit.
Képi bas !


Le journal de la Haute-
Marne -
20 mars 2006


Le Grand Charles un pari osé mais réussi.
[…] Mais Bernard Farcy impose un De Gaulle criant de vérité, adoptant la diction particulière du général grâce à un travail avec un professeur spécialisé dans l’évolution du langage. Il a remporté le Fipa d’or du meilleur acteur lors du dernier Festival international des programmes audiovisuels. […] »


Linternaute - 2006


Un Grand Charles qui sonne juste
Bernard Stora ne voulait pas un téléfilm de plus sur Charles de Gaulle. Il livre une création originale, portée par un Bernard Farcy inspiré.

- Etiez-vous angoissé à l’idée d’interpréter un personnage de la stature du général de Gaulle ?

"Pas du tout. Pour une raison bien simple. Il était hors de question pour moi d’imiter le général. C’est un personnage inimitable. Et j’avais à lutter contre les images d’archives diffusées tout au long du film. Donc j’étais battu d’avance."

- Au niveau physique, il y a de grandes ressemblances. Vous avez même adopté ses gestes et sa posture ?

"Cela fait partie du travail nécessaire. Mais à aucun moment je n’ai cherché à l’imiter. C’est pour cela que j’invite sur la différence entre ressemblance et imitation. L’objectif consistait à s’approcher au maximum de son physique."


Le Parisien - 2008
par André LAFARGUE


Bernard Farcy relance OSCAR

« Bernard Farcy fait ici une composition savoureuse, sans jamais forcer la note. Quand on a campé de Gaulle, on peut s’attaquer à tous les rôles… Et quand on a obtenu à New York une nomination aux Emmy Awards, on peut bien tenir un rôle clé dans Oscar. […] Il n’y a apparemment pas d’inquiétude à avoir sur l’avenir de la pièce. Elle est bien conçue, bien montée et bien jouée. C’ets du bon boulevard. »